Le 18 janvier dernier, Ananké participait à la Journée Pays Maghreb organisée par la Chambre de Commerce et d’Industrie Internationale Bourgogne Franche–Comté. L’occasion pour la start–up de nouer des contacts en Algérie, au Maroc et en Tunisie.
DES RENDEZ–VOUS CIBLES
Des entrevues pour les pays suivants :
>> Algérie, contact : Halim AMMAR KHODJA (Directeur Adjoint de la Chambre de Commerce de d’Industrie Algéro-Française)
>> Maroc, contact : Faiza HACHKAR (Responsable France de la Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc)
>> Tunisie, contact : Habib GAÏDA (Directeur Général de la Chambre Tunisio-Française de Commerce et d’Industrie)
Objectif de l’événement : comprendre les attentes de chacun et mettre en lumière les éventuelles opportunités de développement pour la start–up.
Parmi les thèmes abordés : la politique énergie–climat, les secteurs porteurs du pays et les infrastructures.
LE MAGHREB : UN VIVIER D’OPPORTUNITES
>> L’Algérie jouit d’une indépendance énergétique de par sa production et son exportation d’énergies fossiles et d’électricité.
A noter : Certains secteurs sont peu présents : l’éolien, l’hydrogène et la biomasse malgré l’abondance de terres agricoles.
>> Le Maroc est très dépendant et importe ses énergies d’Algérie, d’Espagne et de Russie.
A noter : Le pays centre son développement sur les équipements liés à la transition énergétique ; centrale solaire, éolien, biomasse et hydroélectricité sont en pleine expansion.
>> La Tunisie importe également toutes ses énergies qui représentent 1/3 du déficit de sa balance commerciale.
A noter : Avec une production d’énergies renouvelables de 5%, le pays a créé l’Agence Nationale de la Maîtrise de l’Energie pour permettre une accélération des technologies dédiées à la transition énergétique.
Signataires de l’Accord de Paris, ces pays nord–africains engagent leurs politiques sur la voie de la transition et du mix énergétique. Bureaux d’études, aides financières, démarches douanières simplifiées… autant d’outils pour faciliter les collaborations et accompagner l’industrie écoresponsable.
A retenir : Ananké envisage l’implantation de son écogénérateur en Afrique. Le but : avancer avec ces pays vers une démocratisation de l’efficacité énergétique.
Affaire à suivre…